Perdue! (pv libre)

Un moment qui ne tarda pas à arriver au final, le temps d'un verre et de quelques mots. Le dilemme suivant fut de se décider si sa valait le coup de prendre la voiture. Ils n'étaient qu'à 5-10 minutes à pied, mais le parking était ici payant alors qu'il avait un sous sol chez lui, ce qui au final résous vite la question. A la sortie du bars, les deux jeunes gens remontèrent dans la voiture. Les trois minutes de conduite furent rapidement expédiées, et heureusement qu'il n'y avait pas foule sur la route, car attention aux rayures sur la carrosserie. Heureusement que pour monter tout en haut, pour arriver dans le loft soigné du jeune médecin, il y a un ascenseur, la monté aurait pu autrement être assez marrante. Arrivé dans le grand appartement, les réverbères brillaient dans la grande baie vitrée. Kibo pris les manteaux et les accrocha au porte-manteaux, allant ensuite vers son bars.

- un verre supplémentaire sa te dis?

Le premier étage était assez soft, le bars cuisine, les deux canapé, l'un tourné vers la télévision, l'autre vers la vue du dehors, l'escalier tournant menant à la chambre et la bibliothèque à l'étage donnait une certaine étrangeté, mais c'était amusant, comme les deux petite marche séparant le coins TV du bars servant de table appondu à la cuisine.

Je n'aurais sans doute pas du boire autant, comme je n'aurai pas du monter dans la voiture de quelqu'un ayant autant bu... mais bon, c'était fait, pourquoi revenir là dessus?

Je ne fus ps déçue par le loft du médecin, c'était ce à quoi je m,attendais, grand, spacieux, bien rangé... Un magnifique endroit, bien mieux que mon petit logement en désordre...

Je le suivis au bar:

- J'ai comme devise de ne jamais refuser un verre, surtout lorsqu'il m'est offert par un si bel homme...

J'avais perdu le peu de retenu qu'il pouvait me rester... Je pris donc ce verre et le vidai. Déposant le verre, je m'approchai de l'homme, l'embrassant.

Lorsqu'elle accepta le verre proposé, il ne fut pas long à les servir et pas non plus, il faut l'avouer, à le boire. Shinjiru fut agréablement surpris de la voir soudainement avec si peu de retenue, et lui rendit le baiser avec plaisir et envie. Posant ses mains sur ses hanches pour la rapprocher de lui. Sa langue allant chercher celle de sa partenaire peu après pour engager un baiser plus passionné. Le jeune homme plaqua la demoiselle contre le mur par la suite. Tout ceci se passa rapidement. Le baiser se fit plus sauvage et dura un moment ainsi. Puis Kibo l'arrêta. Entrainant la demoiselle à l'étage. L'escalier débouche directement sur la chambre. Il poussa Mina sur le lit et se plaça sur elle, reprenant de l'embrasser.

Je sentis l'excitation montée en moi lorsqu'il me plaqua contre le mur. J'adorais qu'un homme montre un peu de force. Je passai les mains dans ses cheveux pendant notre échange passionné.
Qui aurait dit ce matin que je me retrouvai chez le médecin en chef? Entre lui et le mur... nos lèvres liées dans un baiser sauvage? Je ne peux pas dire que je n'y avais pas pensé lorsque je l'avais vu pour la première fois... mais il y a une marge entre les fantasmes et la réalité... normalement.

Je me laissai entrainer dans sa chambre, me retrouvant rapidement sur le lit, embrassée de nouveau par le médecin. Tout en répondant au baiser, j'entrepris de détacher sa chemise, avide de découvrir son corps. Une fois son torse exposé, je m'occupai de mon chemisier... j'aurai du revêtir un t-shirt, ça aurait été beaucoup plus rapide!

Il la laissa lui enlever sa chemise, il s'entait l’excitation et l'envie qui lui brûlaient les doigts lorsqu'elle agissait. Son regard se posa ensuite sur le corps de la demoiselle qui se dénudait petit à petit sous lui. Alors qu'elle achevait de déboutonner son chemisier, il enleva complètement le sien, et finit même de se dévêtir quasi complètement, restant en caleçon. Il revint coller son corps à celui de la jeune femme, venant l'embrasser passionnément, entrelaçant leur langue. Il l'a mise à son tour aussi en sous-vêtements posant par après une main sur sa poitrine, la caressant avec une grande envie. Les doigts fin et agiles de son autre main couraient sur les formes appétissantes de l'infirmière couchée dans ses draps. D'un geste délicat il lui dégrafa le bout de tissus qui freinait ses caresses.

je le regardais avec désir se dévêtir. je ne pu m'empêcher de me mordre doucement la lèvre en voyant son magnifique corps. Je l'aidais à retirer mes vêtements, bien que je tremblais légèrement d'excitation. Je passai mes mains sur son torse, appréciant ce que mes doigts parcouraient, la chaleur de sa peau était si invitante...
Mon cœur battait plus rapidement alors que ces doigts agiles caressaient mes formes. Brulant d'impatience, je l'aidais à retiré mon soutien-gorge avant de prendre sa main et de la plaquer sur mon sein.
La tête commençait à me tourner, je cherchais ses lèvres, l'embrassant passionnément à nouveau. Je glissai ensuite mon autre main sous son caleçon, allant caresser son sexe.

Kibo perçut l'excitation de la demoiselle brulant sous son corps. Il l'embrassa dans le cou, un main sur son sein. Un souffle fendit ses lèvres lorsqu'il sentit la main de Mina venir exciter encore plus son sexe. Il frémit, puis descendit ses lèvres sur la poitrine dénudée, suçotant ses tétons, les malaxant aussi. Descendit encore, embrassant avec envie les corps qui se trouvait entre ses bras. La main du jeune homme trouva place entre les cuisses de la jeune femme, titillant à travers le dernier bout de tissu qui lui restait, tandis que ses lèvres furent bientôt embêtées par ce même bout de tissus. Il l'enleva avant d'y mettre sa bouche, titillant son bouton de plaisir un moment tout en faisant aller deux doigts dans la demoiselle. Ensuite sa langue alla remplacer ses doigts.

Ma respiration devint de plus en plus rapide alors que ses mains parcouraient mon corps et que sa bouche descendait. Je poussais un soupir de plaisir lorsqu'il fit un arrêt sur ma poitrine. Je frissonnais d'excitation alors que sa bouche reprenait sa descente vers le seul vêtement qu'il me restait... Et qui ne resta pas longtemps, à ma plus grande joie. je gémie de plaisir lorsque je sentis sa bouche et ses doigts dans se que je pourrais appeler mon intimité. Je caressai ses cheveux, j'aimais bien sentir leur douceur... mais je n,aimais pas autant que ce qu'il me faisait. La tête commençait à me tourner légèrement et j'étais brûlante, presque fiévreuse. Mon cœur s’emballait.
Je n'avais plus vraiment de contrôle et ça m,excitait encore plus.

Ses lèvres remontèrent ensuite, lentement, longeant ses hanches longuement. Il s'attarda à nouveau sur la poitrine nue devant lui, collant son corps contre celui de sa partenaire. Son souffle devenant court sous l'excitation qui montait en lui caressait le corps de la jeune femme. Ses baisers se posèrent alors dans son cou, la dévorant, positionnant les jambes de la demoiselle de chaque coté de son bassin. Kibo frotta alors son corps contre celui de Mina, enfin, plus précisément, son sexe durcissant sous son caleçon. Il vint lui mordiller les lèvres avant de l'embrasser passionnément. Peut après, le dernier bout de tissus qui couvrait son corps tomba, et les deux corps étaient alors tout deux nus. Le jeune homme continua de caresser son sexe contre le sien. Il tendit un bras alors vers la table de nuit. Ses gestes furent assez hasardeux, mais il trouva ce qu'il cherchait. Il enfila un préservatif, et peu de temps plus tard, la chaleur de son corps entrait dans le corps brûlant de la jeune infirmière.

Je le sentais qui durcissait, mais il y avait encore son caleçon qui s'opposait à cet union de la chair. Je répondis avec passion à ses lèvres, patientant, profitant du plaisir de l'attente. Et le bout de tissus disparut enfin... ça y était, plus besoin d'attendre davantage... en fait si... À un moment, je me demandai ce qu'il cherchait dans la table de nuit... Oh un préservatif! J'avais un peu oublier ce détail... Bien que j'en avait dans mon sac à main, quelque part près de l'entré. eL'alcool et tout ce qui avait suivit me rendait imprudente... Et puis il entra enfin en moi. Je suivis ses mouvements, commençant à pousser de petits cris jouissifs. Sans vraiment m'en rendre compte, j'enfonçai légèrement mes doigts dans ses épaules.

Leur corps s'unirent pour une danse des plus personnelle, remplie de mouvements parfois brusques comme très délicats, de caresses et de griffures. La chaleur se fit plu chaude mais moins étouffante. Tout autour de leurs corps semblait disparaitre au fur et à mesure que le temps passe. Et le temps passe. Les mouvements ralentissent sans vraiment ralentir, les respirations se font allaitante, la danse semble alors arriver à sa fin. Tout ceci résonne en le jeune homme comme un refrain que l'un entend parfois un peu trop.
Lorsque ce fut finit, tendrement il s'enleva et la serra dans ses bras. Sans vraiment que ça soit de la tendresse, mais plus un acte de courtoisie.

Ce ne fut ni trop long, ni trop court, juste parfait. Enfin, c'est évidement une façon de parler, puisque je ne crois pas en la perfection. Pour moi ce n'est qu'une illusion, comme une grande partie de ma vie... par exemple, je semble bien, là à me blottir dans ses bras, mais j'ai l'impression qu'il me manque quelque chose pour être heureuse... mais je ne me sens pas mal non plus, juste un peu vide. Vide qui a été comblé un instant, puis qui reviendra.
Je profite tout de même de sa présence réconfortante, bien qu'il n'y ai rien entre nous. Ça me désole un peu, mais bon, je savoure l'instant présent et c'est tout, vaut mieux cela que rien du tout.

Je ferme les yeux et m'endors contre le médecin, en espérant qu'il resterait là.

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