Attention vous ne devriez pas être là! (PV Kibo) /!\ AME SENSIBLE S'ABSTENIR YAOI/!\

ce n'est pas un endroit ou je trainerait a votre place. le sang couvre absolument tout ici, même dans le couloir on voit les trainées de sang laisser par les internés torturés en ce lieux. mais il parait aussi que c'est ici que se trouve tout les fantômes des fous décédés. on entendrait leurs supplications mais tout cela n'est que des rumeurs, rien n'a été prouver...
Enfin ce qui noua amène ici n'est autre qu'un visage ensanglanté, couvert de bleu, des poignet tenu par des fer dans le dos afin qu'il ne puisse plus bouger sur les genoux les jambes écartées vers l'arrière elles aussi enchainées afin de ne pas pouvoir partir. du séché coller sur le visage, collant, des cheveux gris au reflet mauve de lumière éclairé comme dans toutes les autres pièces de l'hôpital. une personne ne respirant que difficilement, le dos mutilé a coups de fouet...Kuuru... et oui Kuuru a été puni pour avoir assassiner encore des gens... il a bien prit cette fois. et il est même pas dans un semi-coma.
Tous ses sens en éveil attendent patiemment le moment ou on le relâchera ou on le laissera partir ou son âme errante sera libéré de ces chaînes entravant encore sa liberté...
Vous devez vous doutez que dans cette pièce silencieuse, dans un coin se trouve Lola qui attend de retrouver son maître... vous vous doutez aussi que l'on entend les battements du coeur de l'homme et presque le bruit de son sang qui bouillonne de haine... vous vous doutez bien que dans cette salle il ne fait pas très chaud et qu'il n'a pas même un petit frisson... vous vous doutez bien que sous la tête baisser de l'homme se trouve un sourire plus que dangereux prêt a tuer le coupable de son état....
Soudainement Kuuru n'entendit plus le plic-plouc de l'eau qui fuit du tuyau dans le couloir. un bruit de pas venait de retenir son attention... serai-ce le coupable qui vient admirer son travail ou un être qui est encore capable de ressentir de la pitié pour cet âme errante.

Lorsque ce cher médecin chef revint après un jour de congé bien mérité, la première chose qu'on lui apprit fut qu'un de ses patients avait été corrigé pour récidive à l'intérieur même du bâtiment... Ce qui lui faisait un patient de moins, mort, mais peut être mieux là où il est maintenant, et un torturé et martyrisé en bas dans la salle de torture... Shinjiru n'aimait pas que l'on châtie ainsi un patient, surtout lorsque ce n'est pas du tout la méthode à employer... Mais comme il n'était pas là, la question de son châtiment avait dû certainement posé plus haut encore dans la hiérarchie.. Et notre cher médecin ne pouvait alors rien dire à ses collègues qui avaient mal agit, mes les prévint de sorte, et en espérant, que cela ne se reproduise plus.. Une fois changé, et la paperasse terminée, Kibo Shinjiru ne prit même pas la peine d'aller avant dans les chambres de tous les patients pour les voir, il fila directement au sous-sol. Il perçut l'odeur du sang, et le bruit du goute à goute de l'eau le traversa. Il arrêta correctement le robinet avant de tourner dans la pièce où se trouvait son cher Kuuru. Il ramassa Lola, et l'a tendu à son propriétaire.

- mauvais jour mon cher Kuuru, n'est-ce pas? mais ne t'avais-je pas dit que de tuer amènerait à pire que ça encore? Lola risque de se sentir seule si un jour tu fais tellement de bêtise que ton corps se retrouvera inerte.

Kuuru regarda alors la personne qui venait d'entrée dans ce lieux ou on l'avait oublié... Kibo Shinjiru avait eut le simple cran de venir... mais bon il devait savoir que Kuuru ne pourrait pas beaucoup bouger. il soupira et cracha un peu de sang rester dans sa bouche... il sentit alors les chaînes tombées. il reprit Lola et la positionna sur son épaule a sa place habituelle. il tenta de se relever mais se vautra littéralement dans son propre sang sécher. il resta coucher et eut un rire puissant et maléfique...

-vous devez me trouver bien pathétique doc'... moi le plus dangereux de vos pensionnaire incapable de bouger et de me battre...

il eut des larmes amères... c'est bien devant seulement cette personne que Kuuru peut se permettre de pleurer. il finit par se relever séchant ses larmes. il tangait gravement ses blessures dans le dos étaient bien plus sérieuses qu'il aurait pu penser. il s'appuya contre la dame de fer, un instrument de torture destinée au sorcière, soudainement... une poussée d'adrénaline, une envie de tuer le fit se ruer sur le chef infirmier. Kuuru ses doigts aux ongles toujours aussi tranchant s'arrêtèrent qu'à quelques millimètre du visage du chef. le fou eut des tremblement puis des sueurs froides... s'était bel et bien la seule personne capable de créé cela chez lui. il ne bougea soudainement plus... il eut envie de relâcher tout ses muscles mais il savait que s'il faisait cela il s'effondrerait sur le sol a nouveau. que faire maintenant? se forcer a le tuer ou ne pas pouvoir le faire?

Le chef de l'hôpital regarda son cher patient se relever avec peine une fois qu'il l'eut détaché. Et il vit son regard changer et comprit. Il ne bougea pas lorsque Kuuru se jeta sur lui, même pas le moindre mouvement de recule. Qui est le plus fou des deux en fin de compte? Le patient ayant complètement perdu la raison, ou le médecin qui voit le patient lui arriver dessus pour le décapiter et qui ne bouge pas d'un poil, pas le moindre cil qui frémit. Une fois que Kuuru eut un mouvement de recul, Kibo posa une main sur l'épaule de Kuuru, d'une manière ne contenant rien d’agressif ou autre. Puis il lui sourit.

- Ne touche à personne Kuuru... Pense à Lola seule dans de la poussière, abandonnée dans une brocante froide, et surtout sans toi...

Kuuru eut un frisson de peur... pourquoi ce type était capable de tel prouesse? capable d'arrêter le fou le plus dangereux de tout l'hôpital d'un seul regard. il sentit alors Lola comme provoquant de la chaleur en lui. comme si elle venait de le prendre dans ses bras. il finit par relâcher ses muscles et il s'effondra alors sur le sol comme si on venait de couper les ficelles d'une marionnette... il eut des tremblements... toutes ses blessures s'étaient rouvertes et saignaient abondamment. il se releva difficilement et alla se loger dans les bras du médecin tel un enfant qui a peur... malgré que Kuuru n'est que 18 ans. il arrivait dans le cou du médecin. il ne put s'empêcher d'avoir un tic nerveux qu'il a régulièrement l'envie de lui lécher le cou comme avec les autres personnes du personnels... comme s'il avait envie de boire le sang du médecin mais il du se contenter de se lécher les lèvres. il ne bougea plus.

-ou étiez vous passez doc' Shinjiru? je me suis sentit bien seul... et si j'ai été méchant c'est leur faute... ils ont voulu m'enlever Lola et me priver de sucettes.

mieux ne vaut jamais essayer de lui enlever Lola sans son accord ou tout simplement lui priver de la seule chose qui le calme des sucette en spirale. il peut devenir très dangereux et vouloir tuer les personnes responsables et cela est bel et bien stipuler dans sa fiche... déconseiller de lui prendre ses deux objets voir même interdit... encore des idiots qui ont cru pouvoir faire ce qu'il voulait...

-doc'... j'aurai a nouveau le droit au traitement de choc? celui avec plein de médicaments qui me rendent encore plus violent ou aurai-je le droit au traitement spécial?

le traitement spécial est un traitement que seuls ses deux personnes sont au courant. et je doute que le médecin acceptera de vous le dévoiler.

Shinjiru réceptionna le jeune homme lorsqu'il lui arriva dans les bras. Et le laissa le lécher, tant que ça lui faisait plaisir... Puis il l'entraîna lentement à l'étage, à sa chambre.

- Ils ont osé t'enlever tes affaires?! Si c'est ainsi, il va falloir que je leur explique deux-trois choses moi.. Et puis, maintenant il va falloir nettoyer tout ce sang que tu as sur toi.

Une fois dans la chambre du patient, Kibo referma la porte à clef derrière lui. Il tendit ensuite une sucette en spirale joliment colorée. Et sourit à Kuuru

- Tiens, je l'ai prise rien que pour toi en venant ce matin. Et vu que le traitement de choc ne va pas avec toi, dis moi ce qui te ferais plus plaisir? Mais d'abord, on va voir pour t'enlever vraiment ce sang.

Il entraina Kuuru dans la salle de bain.

- déshabille toi, et si je te dérange, tu me le dis.

Kuuru prit la sucette et effleura avec soin le papier comme si s'était un trésor. quel plaisir... Shinjiru ne pouvait pas savoir a quel point il lui faisait plaisir rien que par ce petit geste. il finit par se déshabiller faisant saigner les plaie un peu plus intensément il s'installa dans la douche avec difficulté et attendit... puis il eut un de ses sourires effrayant...

-et si vous veniez avec moi dans l'eau?

il mit la tête sur le coter doucement et Lola suivit son geste et a se moment la Kuuru la posa dans une sorte de petite pochette plastique ou elle serait a l'abri de l'humidité. lorsqu'il fut bien tranquil, il sentit l'eau couler. l'eau n'était ni trop chaude ni trop froide. juste ce qu'il fallait... le docteur connaissait Kuuru depuis longtemps, il avait donc prit l'habitude de s'occuper de lui. le jeune fou attendit patiemment soudainement l'eau devint un peu plus chaud... enfin se n'était qu'une impression, s'était Shinjiru qui venait de se coller contre lui, Kuuru sentait sur ses plaies ouvertes les muscles du torse du médecin, face a Kuuru il en avait bien besoins. lorsque le fou se retourna, il dévisagea longuement le médecin, jusqu'à ce que leur lèvre s'entre choque un long moment pour un mélange de salive.

Une fois Kuuru sous la douche, Kibo alluma l'eau à la température qu'aimait le plus celui-ci. Et sous sa demande, il se dévêtit aussi, et se glissa sous l'eau à son tour. Et laissa les lèvres de Kuuru se coller au siennes, car après tout, cela ne le dérangeait pas le moins du monde. Il passa une main tendrement sur le visage du jeune homme en décollant leurs lèvres pour essuyer le sang qui s'y trouvait.

- pourquoi as-tu tué cette fois-ci? Tu n'es pas beau couvert de sang, de bleu et de blessures tu sais...

Une fois qu'il eut finit avec son visage, il passa à lui frotter les cheveux. Et revint l'embrasser langoureusement.

-on ne m'enlève pas Lola sans raison...et puis même s'il y en a une! ensuite je n'ai même pas pu voir la lumière de leur yeux s'éteindre... cette bande d’abrutis ont réussit a sortir leur collègue du pétrin avant que je savoure ma victoire mais je sais qu'elle est morte a l'hôpital... sinon je n'aurai pas été autant puni... et puis... vous devriez avoir l'habitude doc'...

il sentit alors la main du docteur passer dans ses cheveux il ne broncha plus. il sentit alors coller contre le mur de carrelage. le pommeau d'eau suivit les deux être humain comme s'il était enchanter. il sentit alors la main de Kibo se poser sur sa jambe. il eut envie de lui planter ses doigts dans la jugulaire... mais il en fut bien incapable. il se contenta de glisser ses bras autours du cou du médecin. le traitement spécial était en cour. il sentit alors avoir la même sensation que lorsqu'il tue. ce plaisir si bestial l'envahir... il en eut des tremblements. a un autre endroit tout se mettait en mouvement bien plus bas. mais on va dire que le docteur l'aidait grandement... il ne put retenir quelques gémissement.

-Doc'...vous savez que je hais languir...je vous en prit ayez...mmmm.. pitier d'une âme tourmentée...

il l'embrassa un peu plus fougueusement que tout a l'heure... je vais vous expliquer a présent le principe de ce traitement spécial, après avoir été puni Kuuru ressent toujours plus de haine et devient plus violent et plus imprévisible. tandis que si on s'envoie en l'air avec lui droit après cela calme ses pulsions car le plaisir qu'il a quand il tue est le même que quand il jouit. vous comprenez? c'est complexe mais c'est Kuuru. d'ailleurs le fou et le doc ne sont pas prêt d'avoir finit de mélanger leur salive.

En l'embrassant, Shinjiru colla son patient contre la parois carrelée. Pendant qu'ils mélangeaient leur salive longuement, une main du médecin vint s'appuyer contre le mur et l'autre descendit sur le sexe de Kuuru. Tout d'abord il y alla doucement, accélérant peu à peu la vitesse et l'intensité de ses mouvements. Après que "l'âme tourmentée" l'ait supplié, il lui mordilla tendrement l'oreille et lui lécha le lobe, continuant d'agiter sa main sur le membre de l'intéressé.

- Tu n'as pas vraiment été sage quand même... Mais je vais essayer de trouver de la pitié pour ton âme Kuuru...

Puis il lui susurra de sa vois rauque tout en commençant déjà à le mettre dans la position qu'il allait sous peu lui demander.

- tourne toi, et appuie toi contre le mur..

Une fois Kuuru dans cette position, Shinjiru recommença, sans vraiment avoir arrêter, de lui caresser l'engin. Puis, il enfila le sien à l'intérieur de son patient, posant sa main libre sur l'épaule de celui-ci. Kibo, tout en entrant dans l'anus du fou, déposa ses lèvres dans le cou de celui-ci et l'y lécha.

Kuuru obéit comme un gentil toutou, il se retourna et sentit alors le membre du médecin commencer a faire de frénétique vas et viens. Mais le fou était bien décider a résister le plus longtemps possible... jusqu'au moment ou il sentit une langue lui caresser le cou... il poussa alors des gémissements tout en sentant son membre devenir plus dur. il avait poser ses mains à plats contre le mur carreler et fit crisser ses ongles contre pour qu'il finissent coincer dans une jointure et qu'il ne puisse plus bouger. malgré que l'eau tombait, le patient poussait des gémissements de plaisir de plus en plus fort jusqu'à ce que cela deviennent carrément des cris de joie. il avait mal car le médecin n'y allait pas fort et pourtant cela le réjouissait! aller savoir... avec lui tout est possible... ce n'est pas pour rien qu'il se trouve ici tout de même. Kuur ne put lâcher qu'un vague...

-mmmm... allez au plus pronfo...aaaaaaaahhhhh....nd doc'... ouiiiii! plus loin!

Kuuru est surement maso mais on n'y peut rien. ce n'est qu'une âme tourmentée par la solitude et le sang. qui n'espère qu'une chose que le liquide rouge qui coule dans ses veine ne se vide jamais que celui des autres oui. il sentit alors une envie de sang qu'il répugna en plantant ses propres ongles dans sa propre chaire faisant saigner le tout. il sourit alors comme un dément se contentant d'être submerger par un plaisir sans fin.

L'eau martelait leur corps en tombant, ceci faisait certainement l'acte moins étrange et animal.. Plus les gémissements de Kuuru mutaient vers des cris, plus Kibo y allait plus sec, sachant que c'est ce qui plaisait a son patient. Sa main sur le sexe du jeune homme ne cessait ses mouvements ardents, ne diminuant nullement dans la rapidité. Shinjiru continua de le lécher dans le cou en sentant très bien que cela excitait encore plus le fou. Il fit mine de le mordre, comme l'avait fait un peu plus tôt Kuuru, puis il remonta ses dents jusqu'aux oreilles de son patient et le mordit. Rien de particulièrement douloureux, mais plus dans un thème excitant. Puis il se redressa un peu pour rendre ses mouvements encore plus intense. Gémissant bien entendu.

Les mains de Kuuru finirent par brisés le carrelage, mais tellement nettement qu'il ne se brisa pas. il enfonça alors ses doigts a même le mur. continuant de crier de plaisir. il eut des sourires passant de l'envie de tuer, a la peur et même plus rarement la joie. il finit par donner des coups de hanches afin de mieux sentir le plaisir. il s'était même mit a trembler de plaisir. il sentit le doc s’exécuter. il eut un rire malsain mais pourtant rien n'y prêtait. il rit pendant bien 5 minutes avant qu'un coup plus puissant lui fit hurler de plaisir. il sentit une main de Kibo venir jouer avec ses tétons déjà, bel et bien dur... mais pas a un seul instant Kuuru n'a tenter de se montrer violent, sentir alors la morsure dans son cou le fit frémir. on vit alors la chair de poule le parcourir. il glissa maladroitement sa main sur celle du médecin qui se tenait au mur pour enlacer leur doigt. mais le plaisir fut tel qu'il enfonça ses doigts dans le carrelage empêchant le doc de pouvoir retirer ses doigts. comme si désormais il lui appartenait aussi loin que je connais Kuuru la seule chose qui lui appartienne vraiment c'est Lola... qui n'est qu'une poupée de chiffon... alors est-ce que le médecin est entrain de faire revenir Kuuru sur le chemin de la raison? cela je doute qu'il y arrive, Ku' avait perdu la raison depuis bien trop longtemps pour pouvoir être ramener dans le monde du raisonnement.

Après que le médecin eut mordu tendrement le cou de son patient, il sentit la main de celui-ci prendre possession de la sienne. Il su alors par la manière dont c'était fait qu'il était maintenant impossible de bouger, même si se n'était pas du tout l'intention de notre cher Kibo. Il savait que par ce geste, il était devenu une des rares choses appartenant a Kuuru. Ca avait d ailleurs un coté effrayant. Mais cela ne refroidit pas le médecin qui continuait ses mouvements de bassin et variait ses caresses entre les sexes et les tétons du Kuuru. Ses lèvres continuèrent de jouer dans le cou du fou. Le médecin sentait le plaisir le prendre peu a peu. Et d entre ses lèvres s'éclipsait parfois de petits gémissements.

Un frisson intense parcouru alors tout le corps de Kuuru et en un instant, et on ne sait comment, il eut le temps de lâcher les doigts du médecin de se retourner, nettoyer un peu de la main le sexe du doc et il lui fit une félation. rien n'est plus dangereux qu'un fou remplit d'envie et de plaisir. il lui lécha le sexe avec envie et délectation. caressant chaque partie qu'il pouvait. il avait mit ses main sur le ventre du doc' qui ferait mieux de se méfier car a tout instant, si cet homme plantait ses ongles dans la chair, le médecin n'y survivrait surement pas. mais le fou commença a caresser le corps si doux du médecin avec sensualité et envie. un sacré mélange. Kuuru ne bougeait pratiquement pas la tête mais surtout sa lnague qui lui caressait el pénis. enfin... pas le sien mais celui de Kibo. u.u

Kibo fut surpris par ce revirement de situation. Agréablement je veux dire^^. Il se laissa faire, se laissant aussi prendre par le plaisir. Ses doigts vinrent se glisser dans les cheveux du fou, l'autre main se posa sur une des mains de son partenaire de l'instant. Il releva la tête, sentant son corps tout entier réagir de plaisir au contact de la langue de Kuuru glissant sur son sexe. Le moindre mouvement résonnait dans un écho à l'intérieur du médecin. Il n'y prêta pas grande importance à ce mélange, mis à part au fait que ses muscles se rétractaient tous. Après un moment, se laissant envouter par l'action, un grognement se fit étendre de sa bouche, et quelques mots furent audible si on y fit plus ou moins attention.

-je...... vais.....

ce n'est pas les vague parole de Kibo qui arrêta alors Kuuru qui continua de plus belle. mais juste avant il eut le temps de se retirer et de remonter sa langue le long du corps du doc'. il lui caressa le corps avec grâce et douceur, Kuuru avait caresser les jambes de Kibo comme si cela avait été une femme. il souria délicatement lorsque arriver au niveau des tétons de Kibo il joua avec encore quelques instant avant de le regarder avec un regard suppliant. comme pour recommencer maintenant tout de suite.
mais est-ce que Kibo pourra recommencer ou pas? cela ne tient qu'à lui. car pour une fois Kuuru demande autre chose que sortir de l'hôpital pour tuer des gens. il souria doucement avant de l'embrasser dans le cou et le masturber avant même que le médecin eut le temps de dire sa propre réponse.

Il jouit alors sur le corps du jeune fou, puis il sentait ses mains encore sur son corps, ses lèvres aussi. Ses caresses continuaient de le faire frémir. Sa respiration restait forte et semblait toujours provenir d'autant loin en lui. Il embrassa le fout qui ravivait, malgré la fatigue passagère, une envie de lui sauter dessus. Il l'embrassa fougueusement, lui caressant son sexe. Puis il sortit subitement de la douche. Il s'enroula dans un linge de bain et alla vérifier que la porte de la chambre du fou était bien convenablement ouverte. Derrière lui on pouvait le suivre tellement à la trace grâce à celles humides qu'il laissait en avançant le corps dégoulinant d'eau chaude.

un léger rire sortit du profond de la gorge de Kuuru. il finit par se déplacer titubant vers l'embrasure de la porte et s'y appuya avec un grand fracas. ayant de la peine a refaire de l'ordre dans ses pensées. il finit par enfin éjaculer... cela faisait depuis un moment qu'il se retenait. il finit par aller chercher Lola avec délicatesse la fit sortir de son sac en plastique et retourna auprès de Kibo le prenant par les hanches doucement et posant sa tête contre son dos. le fou ferma quelques instant les yeux comme pour se reposer. il se sentait a présent mort de fatigue mais il finit par sentir a nouveau toutes les blessures qu'on lui avaient fait au paravent... il avait mal et finit même par faire une grimace et lâcher Kibo pour se mettre en boule tenant dans ses bras Lola tout en se balançant d'avant en arrière comme pour ce calmer...

Une fois la porte fermée, et assurément fermée, le médecin sentit le fou se coller à lui. Un frisson le parcourut de tous son long. Il posa ses grandes mais sur celles de son partenaire. Il le sentit trembler, et ressentait que ses blessures le tiraient à nouveau. Kibo eut alors à nouveau l'envie de serrer le fou dans ses bras. C'est à ce moment que Kuuru lâcha son emprise autour de son médecin dénudé. Il fallut un moment à Kibo pour réagir, car les vapeurs de la douche, plus l'acte mêlé, l'ont un tant soit peu ralentit. Lorsqu'il eut enfin l'esprit de se retourner, il vit Kuuru faiblement à terre. Il s'accroupit à coté de lui, et l'entoura de ses bras. Déposant ses lèvres dans son cou un moment après, d'un geste ressortant un très grande tendresse.

Kuuru se jeta au cou de Kibo et le serra contre lui en silence. les visage a moitier cacher par l'épaule de l'homme juste son regard orange poser sur le mur au fond. il ne bougea plus. l'air de penser de réfléchir. totalement perdu l'air de n'être plus que la moitier de lui même. la moitier et d'être loin du tout. Lola gisait sur le sol appuyer contre les genoux. la respiration du fou était lente et quelques peu douloureuse mais il ne broncha pas comme a son habitude. il n'essaya même pas de parler ou même de pleurer tout son corps lui faisait de plus en plus mal. il n'arrivait même plus a penser correctement. il sentait même plus les sentiments qu'il devait sentir. tout ce qu'il sut c'est qu'il se sentit tellement petit au milieux de cet univers. qu'il en resta coller de plus belle contre Kibo. il avait mal mais la chaleur de Kibo avait quelques chose de rassurant et d'apaisant même si ses blessures le tiraillaient. il les sentaient toutes se réouvrir les unes après les autres. mais il ne dit rien restant immobile tel une statue.

Kibo resta un moment ainsi, sans trop bouger, sans trop agir, gardant simplement Kuuru dans ses bras. Puis d'un geste délicat, du bout des doigts, d'un geste tendre, il tourna le visage de l'autre jeune homme en sa direction pour l'embrasser avec une infinie passion. Puis il le serra dans ses bras, avant de le porter et de le poser sur le lit, se plaçant au dessus. Ses grandes mains agiles parcourant de leur extrémité le corps abimé du fou, mais semblant y jouer un air effréné d'un pianiste encore plus fou. Une voix lointaine, et replie de tellement d'émotions bien diverses, sortit de la bouche du médecin.

- Kuuru... Oublie l'imbécilité de ce monde... libère toi en te défoulant sur moi...

le jeune homme se jeta littéralement sur les lèvres du médecin lorsqu'il eut finit de parler. il le fit bien se mettre en position tout cela pendant qu'une main pêche parcours le corps du médecin pour se saisir de la verge du doc et d'agiter la main de plus en plus vite sentant sous ses doigts le morceau de chair chaude se dresser. il souria doucement tout en continuant de l'embrasser. Kibo était le seul capable de sous mettre Kuuru a ses propres désirs et pulsions... enfin... c'est le seul a pouvoir le contrôler comme bon lui semble. et cela le médecin le savait mais il semblait faire semblant de l'ignorer afin d’accroitre encore son influence sur le fou. mais pour l'instant ce n'est pas cela qui se passe c'est plus deux hommes entrain de s'enflammer l'un pour l'autre passant bientôt a l'acte tant désirer.

Lorsque Kuuru l'embrassa comme s'il allait s'y perdre, Kibo entrelaça leur langue. La main de son partenaire qui astiquait son sexe, le fit arrondir le dos et gémir. Sentant son sexe durcir entre les doigts de Kuuru. Une main de chaque coté du fou, refermant ses poings en serrant les draps entre ses doigts, embrassant passionnément le jeune homme. Son corps tressaillit dans un grand frisson. Il vint mordiller les lèvres de son amant de l'instant. Un soupire de plaisir lui brûlant les lèvres. Kibo voulait voir comment que Kuuru se défoulerait sur lui, mais il n'est pas sur que son esprit le suivra jusqu'au bout.

la main de Kuuru n'y allait pas de main morte. puis doucement il inversa les places bien que cela lui couta une grimace de douleur. pendant que le fou caressait le corps du médecin. il lui lécha le torse avec douceur. puis lui mordilla le cou, avant de descendre doucement. lorsqu'il arriva sur le ventre il ne bougea plus sa respiration se fit haletante... la douleur venait de l'arrêter mais il reprit peu de temps après avec encore plus d’enthousiasme. sa langue s'enroulant tout autours du sexe de l'homme puis il le prit en bouche avec douceur, pour une fois Kuu' se montrait tendre et non comme un sauvage. après une bonne félation, il embrassa a nouveau le torse de l'homme remontant tranquillement. Kuu' ne put s'empêcher de pénétrer l'homme avec une grande délicatesse. commençant des vas et viens.

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