Enfin tranquille? (pv Kaze et Mizumi)

Un nouveau jour ce levait pour moi qui me trouvait à présent dans cet hôpital pour malade mentaux. Comme toujours pendant un court laps de temps dans la journée, les détenus pouvaient se rendre où ils le souhaitent tant que cela reste dans l'enceinte de l'établissement et que ce ne soit pas une zone interdite. Comme toujours, je quitta ma chambre pour rendre dans les couloirs de l'internat sans parler à personne. Je n'étais pas encore entièrement rassurer d'être seul dans cette endroit entourer de gens que je ne connaissais pas. Même si au fond de moi, il y en avait un qui avait envie de s'amusait. Je parle bien sur de mon mauvais côté Caim qui avait une fâcheuse tendance à toujours vouloir mettre le bordel où il va. Pour le moment j'ai de la chance il est bien sagement au fond de moi à faire en train de piquer un petit roupillon. Je peux donc me promener où bon me semble sans que ce dernier ne m'attire d'ennuis, du moins pour le moment... Je marchais le long des longs couloirs blancs de l'internat où se trouvait divers personnes, surement des internés tout comme moi pour la grande majorité d'entre eux. Mais il y avait aussi des infirmiers en blouse blanche qui étaient la pour nous surveiller un minimum.

Je marchais encore sans me faire remarquer pour ne pas que les infirmiers viennent chercher des histoires et pire encore, réveiller le Caim qui était en moi. Le tueur en série qui ne vit que pour faire couler le sang de ses victimes. Je me souviens encore de ce jour qui me valut de me retrouver ici. La fois ou Caim avait jouer avec les trois hommes qui avaient assassinés tout les membres de ma famille par le passé. Mais c'était maintenant dernière moi tout cela, si j'étais la aujourd'hui c'était pour pouvoir me guérir et prouver que j'étais apte à reprendre une vie normale. Du moins... si on me le permet... Les couloirs de l'hôpital se ressemblaient tellement que j'avais l'impression de tourner en rond à chaque fois que je changeais de direction. Je décida donc de descendre les escaliers qui se trouvait devant moi pour me changer un peu les idées. En descendant au rez de chaussée, je remarqua que l'escalier continuer de descendre encore plus bas. Y avait-il un sous sol dans cette endroit? Cela m'intriguer beaucoup, moi qui ne savait pas quoi faire de ma journée, j'avais peut être trouvé la quoi faire pour passé le temps qui m'étais autorisé à aller où bon me semble. Mais il y avait fort à parier que le sous sol était un endroit interdit d'accès pour les internés. Est ce que je devais prendre le risque d'y aller?

Alors que je me posais cette question, une voie en moi ce réveilla et me poussa à m'y rendre. Caim s'était réveillé et lui aussi avait envie d'aller ce qu'il pouvait bien y avoir la en bas. Je ne pouvais aller contre sa volonté bien plus forte que la mienne et je me dirigea vers ces escaliers pour commencer à les descendre un à un lentement. Alors que je m'enfonçais dans les ténèbres du sous sol, j'entendis de petits bruit dans l'escalier suivant qui descendait encore. Une fois en haut du dernier escalier, je remarqua qu'une personne était assise sur les marches. A ses vêtements il s'agissait sans doute d'une infirmière. C'était mauvais pour moi, si elle me voyait la, il avait des risques pour qu'elle me donne un avertissement pour être venu ici sans autorisation. Alors que je m'apprêta à faire demi tour, Caim en décida autrement. Je perdis alors le contrôle de mon propre corps et je laissa ce dernier à la volonté de Caim qui en prit le contrôle sans même forcé. Ce dernier resta silencieux pour ne pas attirer tout de suite l'attention de la jeune fille assise en contre bas. Un léger sourire s'afficha sur mon visage qui était devenu celui de Caim. Ce dernier s'avança lentement en descendant les marches à pas de loup. Une fois juste derrière la jeune fille, il s'abaissa lentement à sa hauteur puis il plaça sa bouche près de son oreille pour lui dire quelques mots pour la faire sursauté.

" Alors... Que fais une jeune fille dans cet endroit isolé... On cherche le grand méchant loup? Devine quoi... c'est lui qui t'a trouvé... " dit-il en rajoutant un sourire étrange à son visage en observant la réaction de la jeune fille.

Encore une maudite journée qui arrivait. Mizumi poussa un gros soupir. Elle n'était pas là depuis super longtemps mais elle en avait déjà plus que marre. Chaque jour, elle devait montrer qu'elle allait très bien. Pourquoi être enfermer juste parce qu'elle croyait en quelque chose de différent des autres. La jeune femme se redressa, se changea, se brosa les dents et sortit. Le docteur Kibo lui avait dit qu'elle pouvait se promener tant que c'était dans l'enceinte de l'établissement. Alors elle continua sa visite. Il n'y avait rien à faire de toute façon. Elle marcha silencieusement, sentant le regard des craintifs des infirmières. Elles avaient peur depuis la dernière fois où elle avait perdu le controle et était parti en chasse de sang. Elle poussa un soupir et tourna dans un couloir puis dans un autre. C'était moche, tout se ressemblait. Si t'avais pas un minimum d'orientation, tu seras capable de te perdre. Arrivée à des escaliers, Mizu les descendit, elle finit par arriver assez bas. Alors qu'elle allait remonter, des bruits attirèrent son attention. Elle vit des personnes. Une infirmière et surement un patient. Celui-ci prit la femme par surprise. Mizumi arriva derrière le mec et lui donna une claque derrière la tête.

- Arrêtez.... Ne lui faites pas peur. ça doit être déjà assez dur sans lui faire peur par surprise...

[ Caim: ON ]

Aaaah, ce que j'aimais faire sursauté les gens. Surtout s'il s'agissait de jeune fille toute seule perdue dans des recoins noirs et éloigné des autres. Enfin ce n'était la qu'un tout petit passe temps parmi tant d'autres. Le plus que j'apprécie c'est encore de tuer pour mon pur plaisir. Mais parfois, aller savoir pourquoi, je ne tue pas pendant un certain temps. Comme si cela me dégoûté je dirais. Mais allons bon, cela n'est que passager heureusement. Bien vite le tueur assoiffé de sang qui est en moi reprend vite le dessus et je refais surface pour le plus grand malheur de tous. Enfin bref, la jeune femme, infirmière à n'en pas douté à sa tenue, sursauta au moment ou je lui parla à l'oreille sans la prévenir auparavant. Cela me fit pousser un autre ricanement que je ne pus quasiment pas retenir. Mais je fis en sorte de le faire le plus discret que possible pour ne pas en rajouter une couche dans la moquerie. Même si oui s'était tout à fait mon genre de faire ça.

Au moment où j'allais pour me redresser de sur ces marches, je me pris un coup sur la tête depuis l'arrière. Surpris par le coup même s'il n'était pas très violent, je me retourna par surprise et je vis derrière moi une nouvelle jeune femme qui venait surement d'arriver. Étrange que je ne l'ai pas entendu venir celle la. Enfin bon, elle n'avait pas l'air bien dangereuse même si elle venait de porter la main sur moi. Ce n'était de toute façon qu'une simple pichenette pour moi, pas encore assez forte pour que je lui coupe un bras ou une main. Mais cela m'intrigua encore plus. Qui aurai put prévoir que trois personnes allaient se retrouver au même endroit qui plus est quasiment l'endroit le plus paumé de tout l'internat. Le hasard fait les choses étrangement parfois me direz vous. Après que la jeune infirmière eu repris ses esprits, elle se présenta en nous confirment qu'elle était belle et bien infirmière de ces lieux. Elle s'appelait donc Mina Murray cette jeune femme. Elle n'avait pas l'air de nous connaitre non plus. Faut dire que si elle m'avait déjà croisé par le passé elle ne m'aurait ps oublier sa c'est sur.

Enfin bref, ce n'était pas le plus important pour le moment. Ce qui l'était en revanche, c'était pour elle était venue se perdre ici celle la? C'est vrai quoi, qui aurai envie de venir ce perdre dans cette endroit sombre et complètement à l'écart du groupe, la ou n'importe quoi peut vous arrivez? Pas de chance pour elle, elle était tombée sur moi en plus. Dommage que l'autre fille était arrivée elle aussi. De toute façon ce n'était pas ça qui allait me déranger non plus. Pour faire genre le gentil pour commencé, je me présenta également en ne donnant que mon nom, Caim. Je ne dis rien de plus pour le moment attendant que la jeune femme derrière moi fasse peut être aussi de même. Après avoir attendu quelques minutes que les présentations soient faites, je décida de parler à la jeune infirmière.

- Bon, maintenant que tu sais qui ont est. Tu peux me dire ce que tu viens faire dans un endroit pareil et toute seule? Cet endroit est déjà suffisamment glauque sans pour autant venir se paumé le lieu le plus paumé et glauque justement de cette hôpital. D'ailleurs y a quoi tout en bas? Tu devrai le savoir toi qui est infirmière ici?!

Je ne mâcha pas mes mots. J'étais toujours direct et avec tout le monde, pour que chacun puisse comprendre très clairement ce que je veux quand je le demande. Comme cela, pas de mal entendu ou d’ambiguïté malencontreuse. J'attendis une réponse de la jeune Mina tout en gardant aussi un oeil sur la jeune femme derrière moi. Je ne l'avais encore jamais croiser elle aussi dans les locaux du haut. Il faut dire que j'étais la depuis peu, alors des gens j'allais sans aucun doute en croiser un bon nombre durant mon séjour ici.

[ Caim toujours ON ]

Mizumi remarqua que les deux personnes semblaient surpris qu'elle parle ainsi à l'autre mec. Oui il pourrait être très dangereux et ne pas aimer qu'on lui parle ainsi mais elle savait se défendre également. L'infirmière se présenta. Je ne l'avais encore jamais vu mais en même temps, j'étais là depuis peu. Trop de monde se trouvait dans cet endroit pour tous les connaitre en si peu de temps. L'homme se présenta également en disant juste qu'il s'appelait Caim. La jeune femme supposa qu'elle devait également donner son nom. Elle se présenta sous le nom de Mizumi Higure. Caim commença à parler à 'infirmière. Mizu était également curieuse. Pas sur sa présence ici mais sur ce qui se trouvait en bas des escaliers. Elle regarda l'infirmière pour lui montrer qu'elle attendait aussi une réponse. Mais, elle gardait aussi un oeil sur Caim. On savait jamais de quoi il était capable de faire.